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  • Au théâtre, l'aparté est un discours qu'un protagoniste se tient à lui-même de manière à le faire entendre au seul spectateur ou à l'un des personnages présents sur scène ..... blog d'impressions entre vous et moi
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1 août 2012

Les ambassadeurs, restaurant du Crillon

restaurant_ambassadeurs_paris

Place de la Concorde - 20h00

L'opportunité d'une promotion du site La Fourchette, nous conduit ce soir à la table de Christopher Hache, qui dirige le prestigieux restaurant du Crillon depuis 2010.

Le restaurant est installé dans l'ancienne salle de bal des Comtes de Crillon, décorée par l'architecte Gabriel, dans des marqueteries de marbre qui gardent encore une étonnante fraîcheur. Il n'était pas très tard ce soir, à la fin d'une belle journée ensoleillée, pourtant la salle est relativement sombre d'autant que la partie où nous étions installés, donne sur un péristyle qui masque la place de la Concorde et filtre largement la lumière extérieure. Nous n'avons en tout cas par retrouvé la salle inondée de lumière présentée sur le site de l'hôtel.

Le service est de ceux que l'on trouve dans les plus grandes maisons, présent sans être pesant, attentif et organisé. Nous avons toutefois attendu un peu plus qu'il n'aurait été souhaitable, le second plat d'autant qu'il était divisé pour mon ami L. en trois services, le premier lui ayant été proposé très rapidement et les deux suivants avec mon propre plat ne nous ont été servis qu'après une attente un poil trop longue.

Le menu-carte est à 150 euros quant même !!! (entrée plat dessert) avec un amuse bouche un peu chiche pour commencer et 3 mignardises à la fin. Le plus étonnant est la coupe de champagne à 37 euros (un Laurent Perrier rosé, peu pétillant à notre goût) servi sans le moindre feuilleté d'accompagnement. Pour ce qui me concerne : Foie gras poché en cocotte lutée, Filet de bar de ligne gnocchis d'herbe et choux chinois, vacherin glace rhubarbe et fraises des bois, crème fouettée. Le tout est arrosée d'un Chassagne Montrachet rouge.

Vosu l'avez compris, pour une addition à plus de 200 euros par personne, l'exigeance est de mise et les bémols sont difficilement tolérables.

Ce qui aurait pu être une fête inoubliable, n'est resté qu'au stade d'un (très ?) bon moment.

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