La couleur des sentiments
Film américain de Tate Taylor avec Emmas Stone (Skeeter), Jessica Cahstain (Célia Foote), Viola Davis (Aibileen Clark), Bryce Dallas Howard (Hilly Holbrook), Allison Janney (Charlotte Phelan), Chris Lowell (Stuart Whitworth), Sissy Spacek (Missus Walters), Octivia Spencer (Minny Jackson), Cicely Tyson (Constantine Jefferson).
Dans la petite ville de Jackson, Mississippi, durant les années 60, trois femmes que tout devait opposer vont nouer une incroyable amitié. Elles sont liées par un projet secret qui les met toutes en danger, l’écriture d’un livre qui remet en cause les conventions sociales les plus sensibles de leur époque. De cette alliance improbable va naître une solidarité extraordinaire. À travers leur engagement, chacune va trouver le courage de bouleverser l’ordre établi, et d’affronter tous les habitants de la ville qui refusent le vent du changement.
Le film revient sur la condition des noirs, et plus particulièrement des femmes noirs, domestiques chez des blancs, alors que l'exclavage n'est finalement aboli que depuis 1 ou 2 générations et que le kukusclan rode encore.
Le film n'apporte plus grand chose à l'histoire, si ce n'est qu'il représente à nouveau la situation que des personnes courageuses ont décidés par conviction et courage de faire avancer coût que coût. (On ne peut s'empêcher de penser à Harvey Milck...). Le tout présente une série "d'affreux" à claquer et de "gentils" à soutenir et à applaudir. Le tout donne un résultat mitigé de bons sentiments déclinés sur toues les notes de la gamme pendant 2h30. Mis à part le devoir de mémoire, le sujet ne trouve pas forcément de correspondance aujourd'hui...